Alberto Tagliamonte
4 years ago
X Walter Cosa succede quando sei per strada? Come interagisce il pubblico con te?
Paolo Piccardo
4 years ago
Merci JM
Molto bravo Walter! Complimenti!
Jean Manuel Biraben
4 years ago
Caro Paolo je vous laisse mais reviendrai ! 😄
Jean Manuel Biraben
4 years ago
C’est un chant des oiseaux quelques heures avant le confinement
Jean Manuel Biraben
4 years ago
https://www.spreaker.com/episode/24896497
Jean Manuel Biraben
4 years ago
J ai aussi un son mais sans un mot....
Paolo Piccardo
4 years ago
Super
Jean Manuel Biraben
4 years ago
Pourquoi ce poème ? Car c est un italien qui le raconte le mieux en français : Serge Reggiani https://youtu.be/ZpKb5I6kxbM
Jean Manuel Biraben
4 years ago
Sublime poème de Baudelaire
Jean Manuel Biraben
4 years ago
ENIVREZ-VOUS Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. » Baudelaire, Le Spleen de Paris, XXXIII
Jean Manuel Biraben
4 years ago
Plus court !
Jean Manuel Biraben
4 years ago
Ma sœur a eu le covid (léger). Mais mon beau-frère a écrit un texte. Mais long... voici la fin : Mais regardons plus loin, l’horizon est salvateur. S’il est vrai que nos pensées façonnent la réalité alors la Nature, vibration infinie dont nous faisons partie, n'aurait-elle pas répondu à l'appel de milliards de consciences révoltées mais prisonnières de l’inertie du monde ? Le maillage mondial de toutes ces souhaits et prières. Toutes ces rebellions contre le non-sens, toutes ces initiatives humanistes coupées des décideurs et des COP machin, n’auraient-elles pas infusé le tissu de pensées global pour créer un antidote collectif ? Constatons… La planète respire. Les gens se parlent, s’entraident, s’encouragent. Les barrières de races et de castes sociales s’effondrent... Le monde s’expulse du cauchemar. Haletant et demi assis sur son lit, il se rend compte que OUI, dans la vraie vie, il a besoin de ses soignants, de ses profs, de ses agriculteurs et de ses gilets jaunes. Le trader se dévalue d’un seul coup non ? Il ne nous fera plus payer ces crises… Ce sortilège volatile libère en quelques jours les impasses insolvables de l’Humanité tout en épargnant nos enfants, la peau neuve de l’après. S’il est vrai que nos pensées façonnent la réalité, il semblerait que nous soyons un sacré paquet à penser dans la même direction. Non? L’Humanité se remet à l'endroit. La mue est en cours, il n’y aura pas de retour. Tout est prêt sous l’ancienne peau qui se délite. Mais pour l’heure c’est à nous, la génération en place, qu’il incombe de prendre le virage. Et si comme il est probable, je fais partie des survivants, chacune de nos pertes renforcera ma détermination à reconstruire plus simple. C’est chez nos grands fragiles, nos colosses aux pieds d’argile, que l’extirpation de la torpeur va être douloureuse. Les US sont sous-développés en matière d’accès aux soins (55000 décès évitables par an), l’obésité est un facteur aggravant et leurs dirigeants préfèrent l’Economie au confinement. New-York est submergés de cas alors que le tsunami est encore au large. Ça va cogner sec. Le Trump spirit vit ses dernières heures mais continue son spectacle en prétendant que la presse organise tout ça pour contre carré sa réélection. Comme disait Audiart sous la gouaille de Blier : « les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les r’connait ». J’ajouterai à ce principe de base deux précisions à ne pas perdre de vue. La première est que nous sommes toujours le con de quelqu’un. La seconde, qu’ils sont aussi indispensables à l’équilibre, leur absence serait toxique. Il n’y a pas de gentillesse sans méchanceté, d’intelligence sans connerie, de héros sans collabos ni d’écolo sans Trump… et qu’en cela ils méritent le respect, même s’ils s’avèrent vertigineux lorsqu’on leur laisse le pouvoir. Et c’est le cas chaque fois que nous baissons la garde, chaque fois que la peur nous submerge et se transforme en colère. Ne laissons pas ce coup de semonce sans réponse. La suite aura besoin d’écoute et de confiance, élevons notre niveau de jeu les amis. Prenez soin de vous.
Jean Manuel Biraben
4 years ago
Je réfléchis ...
Paolo Piccardo
4 years ago
Je le lirais pour toi
Paolo Piccardo
4 years ago
As tu envie de lancer un message?
Paolo Piccardo
4 years ago
Bonsoir!
Jean Manuel Biraben
4 years ago
Bonsoir Italia 🇮🇹
Paolo Piccardo
4 years ago
Ciao Chiara!
Paolo Piccardo
4 years ago
Ciao a tutti